lundi 29 février 2016

Le mot de la fin

Un gros merci de m’avoir lu!


L’expérience d’essayer de développer en peu de temps trois histoires différentes était assez prenante.

Bien que l’histoire du Grimoire de Clara a été difficile à faire lever, il n’en reste que pas moins que je crois que cette histoire a du potentiel. En effet, tout le long du processus, je me suis censurée, car je voulais une Clara joyeuse, amusante et non une Clara qui sombre du côté des ténèbres.

Au départ, je voulais quelque chose de gai et de loufoque pour ma Clara. Comme, l’histoire n’allait pas dans ce sens, j’ai essayé d’écrire des situations joyeuses. Maintenant, après une semaine sans le travailler, j’ai une meilleure compréhension de ce que sera cette histoire. Elle commencera d'un ton joyeux et plus ça va avancer, plus Clara sonde son côté sombre, va-t-elle suivre cette avenue ou est-ce que sa conscience va se réveiller et tout faire pour redevenir la Clara d'avant?

Pour les deux autres histoires, je crois que l’histoire de mes chasseuses de fantômes sera ma prochaine série sur laquelle je vais me pencher. Je la vois drôle et pleine d’actions. Beaucoup de surprises!

Quant à Iréna Macarthur, ce sera une belle série où l’héroïne devra démontrer beaucoup de courage. De grands drames sont à venir et beaucoup de voyages entre le Canada et la Grande-Bretagne.

Et vous, laquelle vous a le plus intéressée?

vendredi 26 février 2016

Le pauvre Houbou

Que devient Houbou? Ce sera un charmant fantôme qui deviendra très utile à nos belles demoiselles chercheuses de fantômes. En effet, comme Houbou se fait harceler par des confrères, il a développé la faculté de les détecter à plus de cent mètres toutes les créatures. De plus, il détecte s’ils sont mauvais ou bons.

 À cette fin, Laurence trouva une façon de le protéger en le réfugiant dans un médaillon qu’elle porte à son cou. Ça fonctionne très bien, mieux que tous les appareils électroniques qu’elle possède. En contact permanent avec Houbou, ce dernier lui révèle les moindres monstres dans les parages. Mais ce ne sera pas long que le grand Seigneur Gronarme veuille s’emparer de ce médaillon détecteur de fantômes.

Durant les festivités de la Saint-Jean, Gronarme pourchasse Laurence, la détentrice du médaillon détecteur de fantômes. Il réussira son plan. Elle se fera kidnappée et amenée au haut de la tour du siège social de Gronarme. Ce dernier ne désire qu’une chose : la tuer de ses propres mains en la faisant souffrir longuement.

Hélène et Alexandra parviendront-elles à temps pour la délivrer? Qu’est-il arrivé à Houbou? Les méchants fantômes s’amusent avec le médaillon. Réussiront-ils à le sortir de son refuge? Hélène et Alexandra, arriveront-elles à se défaire de toutes les autres créatures éthériques et à récupérer le médaillon?

Lundi ce sera le mot de la fin de cette belle aventure. 

jeudi 25 février 2016

Le siège social de Gronarme


Cet édifice est la Tour KPMG, au 600, boulevard De Maisonneuve Ouest, est le 8e plus haut gratte-ciel de Montréal. Il mesure 146 mètres, pour 35 étages. Il a été bâti en 1987 par la firme Menkès Shooner Dagenais Létourneux Architecte.

Cet édifice a plusieurs noms : Place de la cathédrale, Tour KPMG, ou encore Maison des coopérants. Depuis 2006 le nom est Tour KPMG.

Moi, je le connaissais sous le nom de la maison des coopérants et j’ai été la chargée de projet de la surveillance de cette toiture, seulement la partie plate lors de sa construction.

Le haut de l’édifice me fait penser à deux choses : à Batman et à la lingerie Wonderbra. J’y vois les oreilles de Batman et pour la lingerie Wonderbra, je vous laisse à votre imagination. C’est pourquoi j’imagine Gronarme s’établir au sommet de cette tour pour prendre le contrôle de Montréal. Cet édifice contient dans son sous-sol un centre commercial, les Promenades Cathédrale, tous reliés au Montréal souterrain. C’est ainsi que les esprits se répandent dans Montréal par cette partie souterraine.

Laurence, Hélène et Alexandra seront vite débordées d’appel de gens terrifiés. Elles auront à résoudre un énorme problème. Gronarme n’aspire qu’une chose. Faire partie des festivités de la Saint-Jean et du défilé.

En quoi pourrait bien ressembler? Je n’ai encore aucune idée. En avez-vous une?


mercredi 24 février 2016

Alerte sur la ligne verte!

Ce sera le titre de mon tome : Alerte sur la ligne verte!



Leur pâtisserie est soudainement sous l’emprise de fantômes. Que se passe-t-il? En entrant dans leur boutique, tout est chambardé. Il y a plein de crémage dans la boutique. Hélène et Alexandra s’empressent de nettoyer avant l’arrivée des employés. Laurence cherche la source avec ses appareils. Elle ne trouve rien. Elle croit que durant le jour, les fantômes dorment. Elle ne saura rien. Durant le jour, elles essaient de ne rien dévoiler à personne.




En soirée, après qu’elles ont cuisiné et tout mis en plan pour le lendemain, Laurence met ses appareils en place et découvre qu’il y a un fantôme résident dans la boutique. Il dit se nommer Houbou et être victime d’intimidation par d’autres fantômes.

Quels autres fantômes? Houbou est discret. , les caketoyzs sont populaires. Dans leur boutique, Laurence a créé un petit coin pour déguster les pâtisseries. En offrant du café, elle surprend une conversation. Il semble que la ligne verte du métro de Montréal soit infectée de spectres et autres créatures éthériques. Il n’en faut pas plus pour les 3 pâtissières pour enquêter sur le sujet.

Bien vite, elles feront la rencontre de spectres terrifiants, mais le plus malin d’entre eux est sur le point de se réveiller d’un long sommeil. Et s’il se réveille, Montréal risque de vivre un désastre des plus spectaculaires. Une invasion de fantômes. D’ailleurs, Gronarme, ce monstre légendaire prévoit une fête à sa manière pour fêter le 24 juin.
À suivre.


mardi 23 février 2016

Des macarons spéciaux.

L’agente d’immeuble trouve un endroit libre, près de la station de métro McGill qui correspond parfaitement. Hélène trouve que les mensualités sont tout à fait raisonnables pour un endroit aussi central à Montréal. La seule à avoir quelques papillons au ventre est Alexandra. Elle regrette presque d’avoir lâché son emploi de secrétaire pour se lancer dans l’inconnu tandis qu’Hélène aucun remord de quitter son emploi de technicienne. La seule qui semble vouloir garder son boulot à temps partiel est Laurence. Pour l’instant, c’est la fin du printemps et elle ne donne pas de cours durant la session estivale. Les trois sont libres et prêtes à s’attaquer à leur nouveau boulot de pâtissières.

Laurence voit grand. Lorsqu’elles prennent possession du local et qu’elles réaménagent les lieux, Laurence affirme d’un air convaincu que leur boutique sera des plus courue à Montréal en raison de leur originalité et de leur spécialité. Pendant deux semaines, elles mettent le local à leur goût.

Demain, ce sera la grande ouverture. Les trois font différents macarons de toutes les couleurs et aux saveurs variées (poires, noix de coco, vanille…) et en sont très fières.


Elles ouvrent leur boutique. Journée terrible. Elles ne vendent presque rien. Les jours qui suivent aussi. Remue-méninge. Vive discussion. Durant la discussion, Alexandra bonne en dessin dessine des monstres. Laurence a une idée de génie. Des macarons ayant l’aspect de petits monstres comme Kirby, les personnages de Monster & Inc, de Sheegoth, Flyff et bien d’autres monstres.


Les jours qui suivent sont meilleurs, mais pas extraordinaires. Elles décident d’aller plus loin avec leurs macarons.


– Faisons des caketoyzs, dit Laurence.


Dans l’arrière-boutique, Alexandra dessine des monstres. Laurence qui a déjà une bonne expérience dans le paranormal et les fantômes la guide. Hélène et Alexandra sont de superbes exécutrices pour les fabriquer.


Vendredi arrive. Elles exposent leurs œuvres et c’est l’engouement. Elles sont tellement débordées les jours qui suivent qu’elles doivent engager du personnel. C’est fou. C’est un succès. L’entreprise est partie.


Un jour, une dame affolée entre dans la boutique en criant qu’un des caketoyzs ressemble à un des monstres chez elle. Laurence sent tout de suite l’appel pour aider cette dame. Les deux autres adhèrent pour mener une investigation chez elle. En deux temps et trois mouvements, afin que la boutique reste ouverte durant la fin de semaine qu’elles font leur enquête, la boutique sera tenue par la mère de Laurence, Isabelle dans la jeune cinquantaine, enseignante aux secondaires qui ne refuse pas la possibilité de changer d’emploi et sa tante, Corinne qui a 55 ans et qui regrette d’avoir pris sa retraite trop tôt.


En quelques jours, les deux dames responsables sont débordées par les histoires de fantômes. Elles qui n’aiment vraiment pas ça! Laurence les convint d’aimer les fantômes. Finalement, les dames acquiescent.


La boutique de caketoyzs prend une nouvelle tournure. C’est le siège social de la lutte aux fantômes. Pendant que Isabelle et Corinne s’occupent du personnel de la boutique, les trois jeunes femmes enquêtent sur des phénomènes paranormaux et là, le plus gros est à venir.

http://blog.cerfdellier.com/les-nouvelles-patisseries-tendances/

lundi 22 février 2016

Des visions!

Troisième série : Macarons et caketoyz. Style : SOS Fantômes (ghostbusters). Trois filles au talent culinaire hors du commun qui chassent les fantômes les fins de semaine. Elles sont propriétaires d’une pâtisserie au centre-ville de Montréal. Elles sont reconnues pour leurs caketoyzs (petits gâteaux en forme de personnages – surtout des monstres). Humour garanti.

Plus de détails sur mes personnages
Laurence Desmarais, bachelière en physique, brunette aux yeux verts, chargé de cours à l’université et au Cégep, à temps partiel, 23 ans, patenteuse d’inventions électroniques.

Alexandra Larochelle, bachelière en archéologie, brunette aux yeux bleus, secrétaire chez des avocats, 25 ans, excellente en dessin et en BD.

Hélène Dagenais, bachelière en écologie, brun foncé aux yeux bruns, a un emploi depuis un an comme technicienne de laboratoire. Âgée de 22 ans, elle trouve son emploi des plus ennuyants. La seule qui possède une auto, une vieille Ford Esdel, 1957 de son oncle. Partout où elle passe, elle se fait remarquer. Une vraie débrouillarde dans des situations difficiles. En forêt ou dans une tempête de neige, elle a le sens de l’observation et ne perd jamais le nord. Elle excelle en mécanique auto.

Des amies depuis leur secondaire, elles ont deux points communs : elles sont des pâtissières hors pair et elles ont le sens de l’entrepreneuriat.


C’est décidé. Elles veulent lancer une pâtisserie. Décision facile puisque leur emploi est soit pas assez payant et/ou inintéressant.

Les trois filles sont à la recherche d’un local commercial. Chacune a une vision de l’emplacement de leur future pâtisserie. Hélène le veut dans une belle petite ville à la campagne, loin des polluants, comme à Sainte-Agathe. Alexandra, le veut dans le vieux Québec, une ville riche en artéfacts anciens et enfin, Laurence dans un quartier proche de l’université McGill pour poursuivre son travail à temps partiel comme chargé de cours.

Les trois argumentent chacune de leur côté dans un restaurant. Ni Alexandra, ni Laurence ne veulent vivre à la campagne. Hélène n’en démord pas. Leurs discussions sont si vives qu’elles se font expulser du restaurant. C’est alors que Laurence passionnée de paranormaux décide que c’est la planche à Ouija qui décidera de l’emplacement de leur future pâtisserie. Elle les invite à son appartement.

Elle fera appel à l’esprit de son arrière-grand-père, Ernest Desmarais. Lorsqu’Hélène lui demande la raison d’invoquer cet esprit. Elle leur explique qu’Ernest est l’inventeur d’équipements de détection d’esprits. Elle nomme les quelques inventions qu’il a construites. Les deux autres en sont fascinés.

Laurence est tout à fait enchantée que ses deux amies de longue date ne soient pas effrayées. Dans sa famille, discuter d’esprits, de fantômes et de paranormal est tabou. Les filles s’installent dans l’appartement de Laurence. Ouija ou plutôt l’esprit d’Ernest statue que l’emplacement sera au centre-ville de Montréal. Laurence danse et les deux autres font la moue.

Laurence pour les égayer sort de son placard les inventions de son grand-père et les inventions modifiées par elle et qu’elle a rendues miniatures grâce à l’électronique. Laurence se débrouille vraiment en électronique. Hélène qui vit dans une maison ancestrale à Boisbriand sur le chemin de la Côte du Sud suggère de tester les appareils chez elle. Elle dit :

– La nuit, il y a de drôle de bruits suspects. Au début, je croyais que c’était les tuyaux de plomberie ou un voleur ou une petite souris. Na! Ce n’était pas ça.

– Yé! crie de joie Laurence. Ce sera notre première enquête.

Les trois font un tope là. Laurence suggère d’apporter de l’alcool pour fêter leur décision de louer un lieu commercial à Montréal.

Eh oui! Avec les appareils, elles détecteront des esprits et elles leur parlent et n’ont pas peur de les vexer. Mais, comme en arrivant au logement d’Hélène, elles ont un peu trop versé dans l’alcool, elles ne sont pas sûres de se remémorer les bonnes choses le lendemain matin. Les trois ont l’impression que les esprits ont plutôt eu peur d’eux et qu’elles se sont bien amusées.

Quant aux esprits, ils n’ont pas dit leurs derniers mots. Cette intrusion de ses trois dames dans leur vie immatérielle les perturbe. Ils espèrent se venger.

À suivre à demain

vendredi 19 février 2016

Suite et fin du grimoire de Clara

En résumé, Clara achète un grimoire. La vendeuse l’avertit de faire attention à ce qu’elle écrit et naturellement, Clara ne prend pas au sérieux cet avertissement.

Dès la première page, elle souhaite que son frère jumeau Vincent ne puisse accéder à son journal. Elle en veut à trois compagnons de classe : Julien, Florine et Félix. Tous les trois s’acharnent après elle et son amie Chloé parce qu’elles ont de bonnes notes en classe.

Le lendemain matin, elle se rencontre que les trois amis la fuient comme s’il avait un monstre derrière elle. Elle a beau jeter un œil dans cette direction, il n’y a pas de monstres. Au retour à la maison, il semble que Vincent ait perdu le goût de lire son journal. Elle remarque qu’il a le bout des doigts rouges. Elle se dit que c’est probablement suite à une pratique de baseball. Il se serait écorché les doigts en tombant.


En soirée, elle poursuit son écriture. Elle se confie à son grimoire. Elle trouve l’enseignante de français ennuyeuse et il lui semble que si c’était un jeune homme décontracté, ce serait bien. Elle saisit une photo sur le web et le colle dans son grimoire.


Le lendemain, surprise, l’enseignante est tombée malade. Le jeune homme la remplace. Chloé et Clara le trouvent très à leur goût.
Le soir ensuite, elle écrit que ce serait formidable s’il s’intéressait à la musique et qu’il serait ce samedi à son concert de piano. Et il le sera.

Bon, je ne suis pas impressionnée. C’est ça écrire. Tout n’est pas clair et précis. Je crois qu’avec le temps, je finirai par trouver ce que chercher Clara, ce que veut Clara. Pour l’instant, je ne la sens pas.

Dans ces cas-là, je n’insiste pas. Je laisse aller. Peut-être que dans un an ou deux, l’idée jaillira et je vais écrire une histoire merveilleuse. Pour l’instant, j’émets pour moi-même un gros bémol. Qu’est-ce que je fais? Je vais fermer le quatrième coffret que vous avez vu quelques jours plus tôt.

La semaine prochaine, je vous parlerai de ma prochaine série (que je crois saura vous plaire) : Macarons et caketoyz. Elle m’inspire plus.

jeudi 18 février 2016

Avez-vous déjà écrit votre propre journal?

Moi si! Je cachais mon journal dans un des tiroirs de ma commode. Un jour, j’ai surpris mon frère et ma sœur qui étaient en train de le lire et de rire de mon journal. Je me suis plainte à ma mère. De mémoire, elle ne les a même pas réprimandés. Je peux vous dire que mon journal a pris le bord. Je n’ai plus jamais écrit de journal.

Et pourtant, c’est une belle façon de mettre sur papier ses émotions et ses pensées et de créer une distance à un événement que l’on vient de vivre. Peut-être bien de le dédramatiser si celui-ci était un de malheureux. Je vous le recommande de le faire. Une très bonne méthode de défoulement.

L’écriture d’un journal permet de trouver des réponses à nos interrogations personnelles. C’est pourquoi je pense que dans ma série (si jamais elle se réalise) Le Grimoire de Clara, Annabelle n’existera plus. Je veux mettre l’emphase sur les états d’âme de Clara. Je la voyais dessiner ses émotions, réfléchir et trouver une solution à ses problèmes.

Comme vous pouvez le voir, je pensais que mon idée était bonne. Lorsque j’ai commencé à la travailler et à le détailler, la bonne idée est devenue… un peu moins bonne. Dois-je l’abandonner?  Le temps me le dira.


Et vous, écrivez-vous un journal?

mardi 16 février 2016

La vie d'écrivaine, pas toujours facile.

Ce n’est pas tous les jours que le mode création est facile. Ce n’est pas non plus une question de muse ou pas muse. Quelques fois, le cerveau a besoin de repos, de prendre congé. Toutefois, il ne faudrait pas que ce soit trop longtemps. Le cerveau, c’est comme un muscle. Il faut qu’il s’entraine. Un trop long repos, ce n’est pas bon.

Pour cette histoire, le grimoire de Clara, je sais que je peux y arriver.

Comme je vous le disais plus tôt, Clara est une personne rêveuse, énergique et aventureuse. À l’école, la grande majorité des élèves de la classe l’aime. Étant studieuse et ayant de bonnes notes, les enseignants aussi l’aiment. Toutefois, un petit groupe de personnes ne l’aiment pas et ne sont pas gentilles avec elle. Il s’agit d’un trio, deux gars et une fille.

L’arrivée d’Annabelle changera la donne. Annabelle et Clara sont toujours ensemble et ont les mêmes goûts. C’est comme sa sœur jumelle. Avec elle, elle oublie les autres. Elle perd même sa plus grande amie d’enfance, Chloé. Par contre, Annabelle n’a pas froid aux yeux et en plus, elle a des pouvoirs magiques et en plus, elle a des amis, ma foi, pas trop agréables. Ils viennent d’un autre monde.

Pour poursuivre cette histoire, il faut que je me mette en mode dessins et que j’invente des personnages monstrueux.

Que veut Clara? Que recherche Clara? Que fera Clara lorsqu’elle découvrira que c’est Annabelle la source de ses problèmes.


Hélas! Je ne suis pas encore fixée. Je veux que ce soit drôle et non morbide. Je suis en réflexion.

Fin du tome 3 l'Ordre des 5 dragons

Je viens de terminer mon 28e manuscrit. Ouf! Je suis terriblement fatiguée parce que j’ai mis le paquet depuis jeudi passé pour le relire, le relire et enfin, le relire une dernière fois.

Il s’agit du tome 3 de la série L’Ordre des 5 dragons qui est la suite de la série les 5 derniers dragons (12 tomes).


Voici les derniers mots de mon manuscrit.

Après bien des hésitations, des ratures et des pages de jeter aux poubelles, il est terminé. L’idée maîtresse de ce projet ne m’a pas quittée une semelle pendant trois mois. C’est une grande joie lorsqu’on inscrit le mot Fin et aussi une grande tristesse.
Dans les jours qui suivront, je vais relaxer et m’ennuyer. Je dois commencer un autre projet. Ce sera le tome 3 de ma série : Les Jeux du Pouvoir. Même si je connais l’intrigue majeure du prochain livre, la rébellion du peuple d’Altina, je dois développer une panoplie d’intrigues et surtout, trouver un lien qui unit toutes ces intrigues, ça s’appelle : le thème.

Il en va de même pour les Grimoires de Clara. Je sais que son grimoire est puissant.  Il lui permettra de réaliser ses souhaits, même ceux les plus secrets. Que sont-ils?

Pour pouvoir développer plus, il faut que je connaisse plus de Clara : sa vie, ses amis, sa famille, ses problèmes, ses désirs et sa carrière.

Je la vois dans une carrière artistique comme conceptrice de jeux vidéo. D’ailleurs, avec ce grimoire, sa vie prendrait des tournures de jeux vidéo. J’aime bien cette idée.

Peut-être des monstres à l’horizon. Qui sait?

lundi 15 février 2016

le grimoire de Clara

Je vous présente : le Grimoire de Clara.


Photo de l'actrice : Céline Buckens
Personnalité : Rêveuse, énergique, aventureuse. Sa devise : Vivre ma vie à fond la caisse.

Ce sera probablement le manuscrit le plus difficile à entreprendre. Je veux qu’à la lecture, on rie. Je ne veux rien de sombre ou de terrifiant, peut-être un peu, mais pas trop.

L’idée générale. Elle a toujours écrit un journal depuis ses 7 ans. Maintenant âgée de 15 ans, elle décide de s’acheter un grimoire aux pages vierges qu’elle a trouvé dans une vieille boutique. La vendeuse, une vieille dame, l’avertit de faire attention à ce qu’elle y écrira.

Dès la première page, elle jettera sa colère contre son frère jumeau qui a la mauvaise manie de lire les journaux qu’elle a écrits et de répéter le contenu à ses amis. Peu importe où elle le cache. Il le trouve.

Elle souhaite que s’il le touche que le grimoire devienne si chaud qu’il en aurait des brûlures. Le lendemain, elle dessine un portrait d’une jeune fille qu’elle nomme Annabelle et souhaite d’avoir comme amie cette jeune fille. À l’école, le lendemain, une nouvelle étudiante est introduite au groupe.

Elle continue à écrire ce qu’elle veut, ce qu’elle souhaite. Ce n’est que quelques jours plus tard qu’elle fera le lien entre le grimoire et les choses qui lui arrivent. C’est alors qu’elle se souvient des paroles de la vendeuse.

Malheureusement, certains souhaits sont un peu trop maléfiques. Elle ne peut ni les effacer, ni arracher la page. Le mal est fait. Elle tentera de redresser la situation en écrivant des actions correctrices.


Comme on dit, c’est un début!

vendredi 12 février 2016

L'importance des lieux

Lorsque je commence un roman, je m’attarde aux lieux. Ainsi dans l’Ordre des 5 derniers dragons, j’ai esquissé cette carte représentant un continent ayant la forme d’une main à 7 doigts.





Pour ma chronique d’Iréna Gwendoline Macacthur, je vais tenter un lien avec Avalon, une île mythique de la légende d’Arthur. Cette île n’a jamais existé. Dans l’esprit celtique, une île n’est pas nécessairement entourée d’eau, il s’agit de manière plus générale d’un endroit isolé, ou séparé de reste du monde.

Actuellement, on pense que la localisation de cette île se situerait à l’emplacement de la ville anglaise de Glastonbury, dans le Sommerset, située aux pieds de la colline sacrée du Tor. On pense également que ce serait à Glastonbury, dans les ruines de l’abbaye, que seraient enterrés le Roi Arthur et son épouse Guenièvre. Reste à voir!

Par ailleurs, on dit aussi que le roi Arthur y a été conduit sur une barque par trois sœurs. De plus, il existe une référence aux pommes dans le nom d’Avalon comme le paradis d’Adam et Ève, le paradis perdu. De plus, il est à noter qu’il y a des éléments similaires avec la barque de Charon et les pommes d’or du jardin des Hespérides se trouvant au bout du monde dans un jardin, dans un lieu clos.

Comme je ne suis pas une férue de cette légende, je vais devoir l’apprivoiser et lire davantage sur cette merveilleuse histoire d’Arthur et des chevaliers de la Table ronde. D’un autre côté, dans la série télévisée de Merlin (que j’ai adoré), on ne peut pas dire qu’ils ont essayé de faire revivre la légende.

Ce sera à moins d’en tirer le meilleur parti pour que l’histoire se tienne et que l’action soit au cœur de cette future série. Comme vous voyez, une idée demande beaucoup de temps et de travail à se développer et à se concrétiser. Si je choisis cette histoire, vous pouvez être assurés que plusieurs mois passeront avant que je sois confortable et que j’entreprenne l’écriture d’un premier tome.

jeudi 11 février 2016

Le dragon de feu



Les lettres de son prénom au complet d’Iréna Gwendolen  se promenaient dans ses rêves comme pour lui indiquer un message. Une voix grave et caverneuse ne cessait de lui dire : « Dans ton nom, mon identité y réside. » Cette voix était si étrange qu’elle pensa que c’était la voix d’un dragon.

Un jour, elle se réveilla et elle sut que son dragon s’appelait Weneline. En effet, en retirant les lettres formant lemot dragon dans Iréna Gwendolen, il restait un ensemble de lettres. 

Avec ce nombre restreint de lettres, elle imagina qu’il ou plutôt qu’elle s’appelait Weneline. « Quel beau nom! » pensa-t-elle. Et ce dragon ne pouvait qu’être de feu en raison de sa chevelure de feu.

mercredi 10 février 2016



Les deux infinis


Deux univers parallèles, celui de la réalité et celui de la légende du roi Arthur.
Iréna est sur le point d’avoir 17 ans. En additionnant les nombres, vous avez comme résultat 8, un nombre entier représentant l’équilibre et l’éternité. Comme vous savez, le symbole de l’infini est représenté par le chiffre 8 couché.

Dans le fameux coffret mystérieux, Iréna a trouvé un collier dont le pendentif est le symbole de l’infini en double. Elle le porte sur elle. Sa tante l’a remarqué. Elle le fixe très souvent.

Plus son anniversaire approche, plus elle a des visions. Le pendentif en est peut-être la raison. Elle ne voit plus ses copains d’école de la même façon. Ainsi, Martin ressemble à Merlin, Harry à Arthur, Geneviève à Guenièvre et la causeuse de troubles de l’école, Mégane à la méchante sorcière Morgane, la demi-sœur d’Arthur. Mégane jalouse Geneviève qui se tient avec Harry et d’Iréna qui se tient avec Martin. Dans le monde parallèle, seuls Martin (Merlin) et Mégane (Morgane) ont des pouvoirs. Par contre, Iréna a le pouvoir de se transformer en dragon tout comme son père Philipp.
Maintenant, elle doute que ses parents disparus soient morts. La recherche de ses parents est d’autant ardue que la magie de Morgane la contraint à se terrer dans une grotte sombre. De retour à la réalité en 2016, Mégane la provoque.


C’est un début, un embryon. Il reste beaucoup à développer.

mardi 9 février 2016

Le mystérieux coffret



Iréna réussit à ouvrir la chambre secrète en absence de son oncle, de sa tante et de son cousin. Elle découvre un vieux coffret dont une partie est un double fond, comme une cachette. Un manuscrit est caché à l’intérieur. Elle y découvre des photos de ses parents et un arbre généalogique avec des noms et des dessins de dragons. Pourtant, l’arbre généalogique porte le nom de la dynastie de Macarthur. Incrédule, elle se demande si c’est possible que son père soit un dragon. Comment est-ce possible?

Durant des jours, elle ne sait plus quoi penser. Sa fête s’en vient à grands pas. Ce qui l’inquiète le plus c’est la tache de naissance en forme de dragon qui la fait souffrir lorsqu’elle prend une douche. De plus, des mots étranges sont écrits dans le manuscrit. Lorsqu’elle les prononce, elle a des visions d’un lieu lointain et ancien, comme en Angleterre dans les années du roi Arthur et qu’elle est un dragon. Heureusement que ces visions ne durent que quelques minutes.


Voilà où j’en suis dans mes réflexions. Si vous aimez, dites-le-moi! Ou si vous avez des suggestions, n’hésitez pas à m’écrire.

lundi 8 février 2016

Les Chroniques d’Iréna Gwendoline Macarthur

Tome 1. La chambre secrète
Qui est Iréna Gwendoline Macarthur?
Une jeune fille de 17 ans qui ne désire qu’une chose : aller en Angleterre afin de connaitre la vérité sur le décès de ses parents.
Lorsqu’elle avait trois ans, ses parents Éléonore Bellavance et Philipp Macarthur sont partis en Angleterre suite au décès d’Harry, l’oncle de Philipp. Partis pour une semaine, ils ne sont malheureusement jamais revenus de ce voyage. Après des années de recherche, la police a déclaré qu’ils étaient probablement décédés. Depuis ce temps, elle vit chez son oncle René Malfroid et sa tante Fantine Bellavance (la sœur de sa mère) avec leur fils Édouard de quatre ans son ainé. La famille a une vie bien rangée. Pas d’alcool, heure du coucher avant 23 heures, repas aux heures fixes… Ils aiment les règles strictes et ils aiment par-dessus tout leur fils unique qu’ils qualifient de génial.

Iréna s’ennuie beaucoup. Elle ne peut jamais inviter ses amies et ni acheter de vêtements à son gout. Elle n’a aucun souvenir de ses parents. Par sa chevelure, elle essaie de les imaginer. Si au moins, René et Fantine avait gardé un album de sa famille. Et non, rien, pas d’album, pas même une seule photo. Sa tante Fantine ne portait pas dans son cœur sa mère Éléonore. Elle lui a répété de nombreuses fois qu’elle la ressemblait.
Comment est-ce possible qu’elle ressemble à sa mère alors que Fantine est si différente d’elle et naturellement d’Éléonore? Fantine a les yeux bleus, les cheveux bruns et raides et surtout n’a aucun gout pour l’aventure et les voyages, alors qu’elle a les cheveux roux et des yeux verts.
En plus d’endurer ces parents adoptifs,  il y a l’enfant chéri : Édouard. Elle est son souffre-douleur.


Édouard Malfroid – 21 ans

Chaque soir avant de se coucher, elle rêve d’être loin de lui et de cette famille ennuyante. Quelques jours avant sa fête, une tache de naissance au haut de son bras la fait souffrir. Bien que petite, cette tache a la forme très nette d’un dragon. Puis, des rêves lui font croire que ses parents ne sont pas décédés et qu’ils seraient disparus.

Elle en est de plus en plus convaincue. Elle croit même que son oncle et sa tante lui cachent cette vérité, surtout qu’ils tiennent une pièce fermée à clef. Ni elle, ni Édouard n’ont accès à cette chambre secrète. Que contient cette chambre secrète? Y aurait-il des détails concernant cette disparition?


Voilà un aperçu du début de l’histoire! Je suis en mode exploration et rien n’est coulé dans le béton. Tout peut encore changer. Si vous avez des idées, n’hésitez pas à m’en faire part.

samedi 6 février 2016

Mes coffrets de travail

Voici comment je travaille étant donné que je travaille avec plusieurs séries à la fois.


De gauche à droite, les séries suivantes : L’Ordre des 5 dragons, les Jeux du Pouvoir, Les Chroniques d’Iréna Gwendoline Macarthur, le Grimoire de Clara et enfin, Macarons et caketoyzs.

Comme j’ai plusieurs séries, je fonctionne par couleurs et par coffret. Aussitôt que j’ai une idée pour une série, je l’écris et je mets le papier dans le bon coffret. Comme ça, lorsque j’entreprends de commencer pour de bon mon histoire, toutes mes idées sont au même endroit. Autrement, j’aurais trop de papiers qui joncheraient sur mon bureau.

Durant les 3 prochaines semaines de février, je vais vous révéler ma méthode de travail. J’aime bien dire que ce sont mes secrets, mais de fait, ce sont des outils pratiques et logiques de comment on débute une histoire.

Ainsi, la semaine prochaine, je vais consacrer ma semaine à élaborer ma première nouvelle série : Les Chroniques d’Iréna Gwendoline Macarthur.

Puis la semaine du 16 février, ce sera au tour de : Le Grimoire de Clara et la dernière semaine de févier sera consacrée à Macarons et caketoyzs.

Et à la fin du mois, j'aimerais savoir laquelle vous préférez? Comme vous voyez, j’adore le fantastique. J’espère que vous aimez tout comme moi, ce genre.


J'ai bien hâte de lire vos préférences.

vendredi 5 février 2016

Mon poste de travail

Un aperçu de mon poste de travail


J’utilise différentes encres de couleur pour chacune de mes idées maitresses.  Chaque idée maitresse représente un chapitre. Ensuite, il ne reste plus qu’à l’écrire à l’ordinateur.  Plus facile à dire qu’à faire.

Un chapitre correspond à une scène comportant une émotion (guerre, jalousie, indifférence…) ainsi que de nombreuses actions.

Avant de commencer l’écriture de mon manuscrit (ou tapuscrit comme on s’amuse maintenant à l’appeler puisque nous tapons plus que nous écrivons à la main), il me faut au moins un à deux mois avant de trouver l’intrigue majeure.

L’utilisation de carte est très importante.  Durant mon travail, elle est constamment sous mes yeux.


Je vous ai dévoilé en partie ma façon de travailler.

jeudi 4 février 2016

Macarons et caketoyz





Troisième série que je vous présente : Macarons et caketoyz. Style : SOS Fantômes (ghostbusters). Trois filles au talent culinaire hors du commun qui chassent les fantômes les fins de semaine. Elles sont propriétaires d’une pâtisserie au centre-ville de Montréal. Elles sont reconnues pour leurs caketoyzs (petits gâteaux en forme de personnages – surtout des monstres). Humour garanti.

Voici mes personnages,  mes chasseuses de fantômes : 


Les personnalités seront bien sûr à développer.

Quels sont leur nom? Eh bien, j’aime bien leur prénom véritable. Ainsi Lauren sera Laurence, Alexandra, Alexandra et Helene, Hélène. Donc, Laurence, Alexandra et Hélène sont les heureuses propriétaires d’une pâtisserie au centre-ville de Montréal, près de la station de métro McGill.
Toutes les trois ont une formation en pâtisserie et débordent d’imagination. Elles offrent dans leur boutique l’assortiment habituel de gâteaux, mais aussi des macarons et des caketoyzs, le dernier cri en pâtisserie. Les caketoyzs sont mis en vitrine. Ils attirent et assurent une bonne clientèle. Mais d’où viennent leurs inspirations? Si la clientèle se savait peut-être n’aurait-il pas autant de clients. Elles ont toutes les trois une passion : chasseuses de fantômes dans des maisons isolées en campagne.
Depuis peu, des phénomènes paranormaux ont débuté au centre-ville de Montréal. Des monstres ont pris d’assaut Montréal et semblent affectionner la ligne verte du métro.
Voilà, ce n’est qu’un début. Il y a encore beaucoup de travail à faire avant de penser d’écrire le premier mot. Croyez-moi!  J’aurais à trouver pourquoi il y a des monstres, d’où ils viennent, que recherchent ses fantômes, pourquoi hantent-ils la ligne verte du métro? Bien des questions à élucider.
Si vous avez quelques idées, faites-moi s’en part!


mercredi 3 février 2016

Le grimoire de Clara

Voici Clara Clermont de ma future série :  Le grimoire de Clara.
Photo de l'actrice : Céline Buckens

Personnalité : Rêveuse, énergique, aventureuse. Sa devise : Vivre ma vie à fond la caisse.
Famille : Papa, maman (à déterminer ce qu’ils font dans la vie), son frère jumeau de 15 ans qui aime l’espionner.
Où elle vit : Montréal, chez sa tante et son oncle.

Style : journal et fantaisie. Humour au rendez-vous. Depuis qu’elle a tronqué son journal pour un grimoire, tout a changé dans sa vie. Des phénomènes paranormaux au rendez-vous.

Voici ce qu’elle écrit dans son grimoire quelques jours après son achat d’un journal intime. 

Depuis que j’ai acheté ce journal intime aux allures d’un grimoire, mon frère ne vient plus le lire. Auparavant, j’avais beau le cacher sous le matelas de mon lit, dans le fond d’un tiroir de ma commode ou à tout autre endroit que je pensais être la meilleure cachette, il le trouvait. Rien à faire. Il était aussi futé qu’un renard.
Comment le sais-je? Parce que monsieur prenait un malin plaisir à raconter des parties de ce que j’avais écrit. Heureusement, il ne racontait que des banalités que j’avais écrites. Il aurait pu facilement leur transmettre quelques-uns de mes secrets intimes comme mes amours imaginaires avec le bel Alexandre. Par chance, il ne s’était pas aventuré dans cette avenue parce que je l’aurais assassiné.
Mais depuis que j’ai ce journal. Il ne cherche même pas à le trouver. Bizarre! D’autant plus que depuis que j’ai acquis ce grimoire, je ne suis plus la petite fille naïve et innocente. Je vois la vie bien différemment. 

L'idée principale est que le grimoire réalisera ses souhaits les plus extravagants. Elle prendra un certain temps avant de comprendre ce qui se passe réellement. Très tôt, elle fera le lien entre les souhaits écrits et ce qui lui arrive réellement dans sa vie. C'est alors que son imagination fertile se permettra quelques fantaisies loin d'enchanter son frère et ses amis. Il aura même des retombées désastreuses pour elle. 

mardi 2 février 2016

Iréna Gwendoline Macarthur

Pourquoi vous parlez de trois séries que je concocte alors que je suis en train d’écrire deux autres séries, en autres, l’Ordre des 5 dragons dont les tomes 1 et 2 seront publiés en avril 2016 et les Jeux du pouvoir dont les tomes 1 et 2 seront publiés en septembre 2016? Eh bien, parce que le processus est très long.
Avant de débuter une série, je dois penser à créer de nombreux personnage et à créer des lieux à moins que je n’utilise des endroits connus.
Puis, vient la grande question : que veut mon héroïne? Que recherche-t-elle? Quelles seront les embûches? Qui est celui qui entravera sa quête du bonheur ou la quête d’un objet précieux?
Dès que j’aurai répondu à ces questions, d’autres interrogations surgiront. Quel style? Impersonnel ou le « je »? Écrire au passé ou au présent? Qui est mon lecteur? Jeune? Adolescent? Adulte? Oui, les trois en même temps.
Eh oui, écrire est un processus très long et j’ai décidé de vous faire participer à ce processus d’écriture comme ça, j’aurai l’impression que vous m’accompagner et que vous êtes là pour m’encourager.

Allez, ne vous gênez pas! Plus on participe, plus je vais m’investir dans ce projet. D’ailleurs, je dois choisir. Je ne peux mener de front 3 séries. C’est vos commentaires qui vont déterminer ma prochaine série. À la fin de février, je vais trancher et choisir celui qui me passionne le plus.
Voici, ma première série : Les Chroniques d’Iréna Gwendoline Macarthur. 
Style : les légendes du roi Arthur. Question de dragons et de chevaliers. Iréna a une tache de naissance sur son épaule gauche qui a la forme d’un dragon. Elle fête ses dix-sept ans. Heureuse et en bonne compagnie, cet événement se transforme en cauchemar.

Le premier pas.

Qui est notre héroïne?
Voici l’héroïne que j’ai en tête. Voici, Iréna Gwendoline Macarthur, une belle rousse aux yeux verts. Une photo prise sur le web, une belle inconnue. Si vous connaissez une belle rousse, faites-moi parvenir son nom ou une photo?



Personnalité : Ambitieuse.
Parents : Décédés
Où elle vit : Montréal, chez sa tante et son oncle.
Événement : elle va fêter ses 17 ans lorsqu’un phénomène étrange la transporte ailleurs, en Angleterre dans les années 490, l’année où Arthur Pendragon fête ses 20 ans.

Et là commence l’aventure.


Ouain, sauf que… il va falloir que j’élabore plus (rires).

lundi 1 février 2016

Ce que je mijote.

Comme vous le savez peut-être, je suis née sous le signe horoscope chinois du dragon d’eau. Les dragons sont porteurs de créativité. Je les vois partout! Dans les nuages, dans le feuillage d’un arbre, dans les plis de ma couverture. Je vous le dis, ils sont partout. C’est ainsi qu’est née ma série Les 5 derniers dragons. Bien que j’aie écrit douze tomes, j’ai encore bien des idées pour mes aventuriers. Je termine présentement le tome 3 de cette suite qui porte le nom L’Ordre des 5 dragons.


Actuellement, j’ai trois idées de romans. J’ai déjà le titre de ces trois séries. Rien n’est coulé dans le béton, mais je crois que c’est assez solide.

Première série : Les Chroniques d’Iréna Gwendoline Macarthur. Style : les légendes du roi Arthur. Question de dragons et de chevaliers. Iréna a une tache de naissance sur son épaule gauche qui a la forme d’un dragon. Elle fête ses dix-sept ans. Heureuse et en bonne compagnie, cet évènement se transforme en cauchemar.

Deuxième série : Le grimoire de Clara. Style : journal et fantaisie. Humour au rendez-vous. Depuis qu’elle a tronqué son journal pour un grimoire, tout a changé dans sa vie. Des phénomènes paranormaux au rendez-vous.

Troisième série : Macarons et caketoyz. Style : SOS Fantômes (ghostbusters). Trois filles au talent culinaire hors du commun qui chassent les fantômes les fins de semaine. Elles sont propriétaires d’une pâtisserie au centre-ville de Montréal. Elles sont reconnues pour leurs caketoyzs (petits gâteaux en forme de personnages – surtout des monstres). Humour garanti.


Voici de quoi à l'air les caketoyzs.




Chers amis et chers lecteurs, j’ai besoin de votre aide. Alors, à vos crayons, j’attends vos suggestions. Je vous en parle dès demain plus en détail de l’intrigue de la première série.


À demain! Trop hâte de vous lire!