Lorsque je commence un roman, je m’attarde aux lieux. Ainsi
dans l’Ordre des 5 derniers dragons, j’ai esquissé cette carte représentant un
continent ayant la forme d’une main à 7 doigts.
Pour ma chronique d’Iréna Gwendoline Macacthur, je vais
tenter un lien avec Avalon, une île mythique de la légende d’Arthur. Cette île n’a
jamais existé. Dans l’esprit celtique, une île n’est pas nécessairement
entourée d’eau, il s’agit de manière plus générale d’un endroit isolé, ou
séparé de reste du monde.
Actuellement, on pense que la localisation de cette île se
situerait à l’emplacement de la ville anglaise de Glastonbury, dans le
Sommerset, située aux pieds de la colline sacrée du Tor. On pense également que
ce serait à Glastonbury, dans les ruines de l’abbaye, que seraient enterrés le
Roi Arthur et son épouse Guenièvre. Reste à voir!
Par ailleurs, on dit aussi que le roi Arthur y a été conduit
sur une barque par trois sœurs. De plus, il existe une référence aux pommes
dans le nom d’Avalon comme le paradis d’Adam et Ève, le paradis perdu. De plus,
il est à noter qu’il y a des éléments similaires avec la barque de Charon et
les pommes d’or du jardin des Hespérides se trouvant au bout du monde dans un
jardin, dans un lieu clos.
Comme je ne suis pas une férue de cette légende, je vais
devoir l’apprivoiser et lire davantage sur cette merveilleuse histoire d’Arthur
et des chevaliers de la Table ronde. D’un autre côté, dans la série télévisée
de Merlin (que j’ai adoré), on ne peut pas dire qu’ils ont essayé de faire
revivre la légende.
Ce sera à moins d’en tirer le meilleur parti pour que l’histoire
se tienne et que l’action soit au cœur de cette future série. Comme vous voyez,
une idée demande beaucoup de temps et de travail à se développer et à se
concrétiser. Si je choisis cette histoire, vous pouvez être assurés que
plusieurs mois passeront avant que je sois confortable et que j’entreprenne l’écriture
d’un premier tome.
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