lundi 22 février 2016

Des visions!

Troisième série : Macarons et caketoyz. Style : SOS Fantômes (ghostbusters). Trois filles au talent culinaire hors du commun qui chassent les fantômes les fins de semaine. Elles sont propriétaires d’une pâtisserie au centre-ville de Montréal. Elles sont reconnues pour leurs caketoyzs (petits gâteaux en forme de personnages – surtout des monstres). Humour garanti.

Plus de détails sur mes personnages
Laurence Desmarais, bachelière en physique, brunette aux yeux verts, chargé de cours à l’université et au Cégep, à temps partiel, 23 ans, patenteuse d’inventions électroniques.

Alexandra Larochelle, bachelière en archéologie, brunette aux yeux bleus, secrétaire chez des avocats, 25 ans, excellente en dessin et en BD.

Hélène Dagenais, bachelière en écologie, brun foncé aux yeux bruns, a un emploi depuis un an comme technicienne de laboratoire. Âgée de 22 ans, elle trouve son emploi des plus ennuyants. La seule qui possède une auto, une vieille Ford Esdel, 1957 de son oncle. Partout où elle passe, elle se fait remarquer. Une vraie débrouillarde dans des situations difficiles. En forêt ou dans une tempête de neige, elle a le sens de l’observation et ne perd jamais le nord. Elle excelle en mécanique auto.

Des amies depuis leur secondaire, elles ont deux points communs : elles sont des pâtissières hors pair et elles ont le sens de l’entrepreneuriat.


C’est décidé. Elles veulent lancer une pâtisserie. Décision facile puisque leur emploi est soit pas assez payant et/ou inintéressant.

Les trois filles sont à la recherche d’un local commercial. Chacune a une vision de l’emplacement de leur future pâtisserie. Hélène le veut dans une belle petite ville à la campagne, loin des polluants, comme à Sainte-Agathe. Alexandra, le veut dans le vieux Québec, une ville riche en artéfacts anciens et enfin, Laurence dans un quartier proche de l’université McGill pour poursuivre son travail à temps partiel comme chargé de cours.

Les trois argumentent chacune de leur côté dans un restaurant. Ni Alexandra, ni Laurence ne veulent vivre à la campagne. Hélène n’en démord pas. Leurs discussions sont si vives qu’elles se font expulser du restaurant. C’est alors que Laurence passionnée de paranormaux décide que c’est la planche à Ouija qui décidera de l’emplacement de leur future pâtisserie. Elle les invite à son appartement.

Elle fera appel à l’esprit de son arrière-grand-père, Ernest Desmarais. Lorsqu’Hélène lui demande la raison d’invoquer cet esprit. Elle leur explique qu’Ernest est l’inventeur d’équipements de détection d’esprits. Elle nomme les quelques inventions qu’il a construites. Les deux autres en sont fascinés.

Laurence est tout à fait enchantée que ses deux amies de longue date ne soient pas effrayées. Dans sa famille, discuter d’esprits, de fantômes et de paranormal est tabou. Les filles s’installent dans l’appartement de Laurence. Ouija ou plutôt l’esprit d’Ernest statue que l’emplacement sera au centre-ville de Montréal. Laurence danse et les deux autres font la moue.

Laurence pour les égayer sort de son placard les inventions de son grand-père et les inventions modifiées par elle et qu’elle a rendues miniatures grâce à l’électronique. Laurence se débrouille vraiment en électronique. Hélène qui vit dans une maison ancestrale à Boisbriand sur le chemin de la Côte du Sud suggère de tester les appareils chez elle. Elle dit :

– La nuit, il y a de drôle de bruits suspects. Au début, je croyais que c’était les tuyaux de plomberie ou un voleur ou une petite souris. Na! Ce n’était pas ça.

– Yé! crie de joie Laurence. Ce sera notre première enquête.

Les trois font un tope là. Laurence suggère d’apporter de l’alcool pour fêter leur décision de louer un lieu commercial à Montréal.

Eh oui! Avec les appareils, elles détecteront des esprits et elles leur parlent et n’ont pas peur de les vexer. Mais, comme en arrivant au logement d’Hélène, elles ont un peu trop versé dans l’alcool, elles ne sont pas sûres de se remémorer les bonnes choses le lendemain matin. Les trois ont l’impression que les esprits ont plutôt eu peur d’eux et qu’elles se sont bien amusées.

Quant aux esprits, ils n’ont pas dit leurs derniers mots. Cette intrusion de ses trois dames dans leur vie immatérielle les perturbe. Ils espèrent se venger.

À suivre à demain

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